Avec un peu de chance je l'aurai la semaine prochainecassy a écrit :Qui a écouté le dernier Coldplay
La critique a l'air assez mitigée...
...Pour Violet Hill, tout pareil que toi Fifoox ...
Le coin du Zicos
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shadow's lisa
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Claude
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Je l'ai écouté ce matin ...cassy a écrit :Qui a écouté le dernier Coldplay
La critique a l'air assez mitigée...
J'ai bien aimé "Life in Technicolor", "Viva la Vida", "Violet Hill", et la jolie balade "Lovers in Japan". Le reste m'a paru plat, et plutôt mou du genou :?
Bien loin de X & Y ...
#JeSuisFainéant
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shadow's lisa
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shadow's lisa
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au rayon "derniers CD écoutés", j'ai :
un petit côté à la Arthur H que j'aime beaucoup ... je n'accroche pas trop sur la scène française actuelle (Cali et autres) mais là, vrai coup de cœur .. mélange de fragilité et de cruauté ...
(ok, ça fait une plombe qu'il est sorti
)
j'aime beaucoup, c'est simple et frais
pop anglaise sautillante, tellement sautillante que j'en ai un peu mal au cœur ...
un excellent cru
bien (quelques morceaux un peu trop électro à éviter) .. elle a su se renouveler ..
(pas de première fraicheur cet album, mais je rattrape du retard
)
j'a-do-re
Belle voix profonde et sensuelle, album un peu répétitif par contre ...
déçue .. pas mal mais inégal et en-dessous de leur discographie .. le seul album de Coldplay où je zappe des morceaux
:?
vala
un petit côté à la Arthur H que j'aime beaucoup ... je n'accroche pas trop sur la scène française actuelle (Cali et autres) mais là, vrai coup de cœur .. mélange de fragilité et de cruauté ...
(ok, ça fait une plombe qu'il est sorti
)j'aime beaucoup, c'est simple et frais
pop anglaise sautillante, tellement sautillante que j'en ai un peu mal au cœur ...
un excellent cru
bien (quelques morceaux un peu trop électro à éviter) .. elle a su se renouveler ..
(pas de première fraicheur cet album, mais je rattrape du retard
)j'a-do-re
Belle voix profonde et sensuelle, album un peu répétitif par contre ...
déçue .. pas mal mais inégal et en-dessous de leur discographie .. le seul album de Coldplay où je zappe des morceaux
:? vala
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Furieuse envie de tout cramer, dans un esprit de stabilité institutionnelle.
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salokyn
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Claude a écrit :Je l'ai écouté ce matin ...cassy a écrit :Qui a écouté le dernier Coldplay
La critique a l'air assez mitigée...
J'ai bien aimé "Life in Technicolor", "Viva la Vida", "Violet Hill", et la jolie balade "Lovers in Japan". Le reste m'a paru plat, et plutôt mou du genou :?
Bien loin de X & Y ...
Ce qui me gêne avec l'intro du morceau "Viva la vida" (violon), c'est que j'avais l'impression d'écouter de l'Alizée 
Sinon j'aime beaucoup Lost. SIGUR ROS "MED SUD I EYRUM VID SPILUM ENDALAUST" Album fantastique, plus 'joyeux' qu'à l'accoutumée 
A écouter le morceau VID SPILUM ENDALAUST.-
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dingo
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ce n'est pas parce qu'on est en stage qu'il ne faut pas aller à des concerts, qui plus est gratuit ...
report écrit dans la foulée, qui ne vous parvient donc que maintenant ...
pour situer un peu, l'Apocalypse en filigrane c'est parce qu'on a eu un très violent orage à 18h30, deux heures avant le concert ...
je n'ai pas retouché le texte, donc il peut y avoir des private jokes qui traînent ou bien des passages qui vous interpellent ... à la base tout ça était destiné seulement aux autres stagiaires qui me sont chers, sous forme de Chroniques, dont je vous livre ici le chapitre XX
bref, installez-vous bien confortablement, c'est long ...
Tournée Ricard SA Live Music 2008
Reprenons le cours du temps qui semblait s'être arrêté lors de cette Apocalypse. Il est 19h30, la colère des Cieux s'est apaisée, et alors que l'on finalise l'écriture du chapitre de l'Apocalypse (c'est ça la classe, l'écriture en temps réel ! en même temps, je ne pensais qu'à ça sur la route, je faisais mes phrases et tout ... enfin bref), il est temps de se préparer à sortir. Sortir ? Par ce temps ? Boarf, ce ne sont juste que des gouttes d'eau, et ça a l'air de s'améliorer. Il est un peu plus de l'heure des Jeux quand je quitte le studio, il pleuviote toujours mais que faire Henrik ? Armé de mon parapluie je rejoins la voiture et me dirige ensuite au feeling vers le Palais des Sports, et plus précisément son parking.
Alors, qu'est-ce qui m'amène à risquer ma santé en ce mardi pluvieux ? Hé bien ce soir, à Dijon, fait étape la tournée du Ricard SA Live Music. Kézako que ça, en plus avec un tel sponsor alcoolisé ? Tout simplement une tournée de concerts gratuits à travers une douzaine de villes françaises, dont Dijon. Classe non ? Trois artistes sont à l'affiche, dont un (une en l'occurrence) est le vainqueur d'un tremplin Web, artiste choisi donc par les internautes. Les deux autres à l'affiche sont le DJ français Martin Solveig et le groupe pop-rock américain Maroon 5. Avouez que pour un concert gratuit on aurait pu trouver pire.
Il est un petit 20h20 quand j'arrive sur place, il tombe quelques gouttes encore, suffisantes pour justifier le parapluie pendant l'attente mais dont on pourra se passer pendant le concert. Et débute là un de mes sports favoris, l'observation des gens, de leurs manières et de leur comportement. Pour commencer, on peut dire que ça faisait longtemps que je n'avais pas été entouré par autant de collégiens et lycéens. Moyenne d'âge assez jeune donc pour ce live, je n'ai pas vu grand monde qui dépassait la vingtaine d'années, hormis quelques parents venus accompagner leur (très) petite progéniture. Cependant, sans doute aurais-je trouvé une moyenne d'âge plus élevée si je m'étais reculé, en tout cas c'est l'impression que ça m'a laissé en partant. Bref, j'avais l'impression de faire ma tour de contrôle au milieu de cette jeunesse qui ne m'arrivait que rarement au-dessus de l'épaule.
Qui dit jeunesse dit mode, et c'est vrai que j'ai aussi pu assister à un véritable défilé de mocheries en tout genre. Ma première remarque ira au maquillage, spécifiquement le contour des yeux. A ce que j'ai pu voir, deux solutions : ou bien les jeunes filles d'aujourd'hui se shootent de plus en plus tôt (ce qui est probable, vu la proportion d'entre elles qui fument ou descendent leur bière tranquillement ... par rapport à mes années collège ça a bien changé, et pourtant c'était dans un de ces quartiers que l'on dit « difficile » ...), ou bien ces mêmes jeunes filles ont pour objectif de ressembler à ce qu'il se fait de mieux au rayon zombie aujourd'hui. Enfin bref, croiser un regard en deviendrait presque une souffrance parfois. Mais la mode ne se restreint pas au maquillage, loin de là. Sur les coiffures je n'aurai rien à dire, même pas un petit punk pour égayer les têtes. Après, il y a le style vestimentaire. Et là, on a le choix. Forcément on tombe sur quelques djeunz tecktonik, mais moins que j'aurais pu l'imaginer avec la présence d'un DJ. Ou sinon ils étaient tout devant, mais je doute. On trouve aussi les inévitables filles venues pour se montrer et être regardées Tout est bon entre la mini-jupe, les bas-résilles ou le décolleté plongeant. On rappellera juste qu'il y a une heure de ça il pleuvait à torrents, et que l'accalmie est plus qu'incertaine. Mais c'est pas tout ça, le temps passe vite (ou pas), et la pluie a cessé quand, peu avant 21 heures, le super speaker nous annonce l'arrivée de Lizzie.
Lizzie donc, gagnante du tremplin Ricard (hé oui, il n'y a pas que le 100 mètres Ricard qui existe !), vient nous interpréter sa chanson dédiée au ... chocolat (Ricard chocolat je ne sais pas, ça peut être bon). Chanson en anglais (Olivia Ruiz est passée avant pour le titre en VF), musique pas mal mais malheureusement insuffisante pour chauffer efficacement la foule. Mais rares sont les premières parties dont on se souvient (en bien, entendons-nous). En deux ans de concerts en Rhône-Alpes, je crois bien que seul Pain a fait impression ... Mais en même temps, avec Nightwish derrière c'est déjà du concert de gros calibre.
Un petit tour et puis s'en va donc pour Lizzie, et voilà que l'on dévoile de sous leurs bâches les platines. Et quelques minutes plus tard voici Martin Solveig et son groupe qui montent sur scène. Oui, vous avez bien lu, « et son groupe ». A ceux qui attendaient un set dance-électro, c'est raté. Ca tombe bien, ce n'est pas mon cas. Martin Solveig s'est donc entouré de tout ce qui se fait de bien en musique, à savoir une batterie, une basse, une gratte et un chanteur, lui se gardant évidemment les claviers. Et en avant la musique ! Trois chanteurs se succèderont, dont Martin Solveig, ce qui n'est pas là son point fort disons-le, bien qu'il s'en sorte très honorablement. En tout cas, un set d'une petite heure ultra-efficace, assez tourné rock tout en conservant les bases de sa musique électronique. Je ne sais pas ce que donnent les titres en studio, mais à mon avis ils sont faits pour être joués en live. On notera au détour des arrangements l'utilisation du très bon riff de Lenny Kravitz dans « Are you gonna go my way » et une reprise du « Smell like teen spirit » de Nirvana, dont l'interprétation n'a rien à envier à ce que l'on a pu entendre cette année à la ME ... 22h donc et voici qu'en termine la très bonne surprise de la soirée, remerciant les bourguignons d'être venus malgré la tempête qu'il y a eu.
Alors que les techniciens s'affairent désormais sur scène pour installer le nécessaire pour Maroon 5, nous attendons patiemment la reprise des hostilités. C'est le moment que choisissent les photographes pour immortaliser la foule en délire. On lira plus tard dans la feuille de chou locale, Le Bien Public, que nous étions 10.000 à s'être déplacés ce soir-là. A mon humble avis c'est surestimé, un bon 5.000 me paraît plus probable, ce qui est quand même un exploit compte tenu des conditions météo. Bref, nous attendons, et voilà qu'un groupe de Bourguignons entame la tradition locale du bal bourguignon. J'en avais entendu parler chez Alcan sans comprendre la chorégraphie, donc en vrai c'est mieux. Ca n'a pas l'air si compliqué en tout cas, vous levez les bras en l'air, vous mettez vos mains un peu comme si vous dévissiez une ampoule ou teniez un oeuf, et vous donnez à vos bras un mouvement de rotation autour de l'axe z défini vertical. Puis, vous vous mettez à applaudir, selon un rythme très précis cependant. Et vous recommencez. Mais bon, après trois-quatre répétitions, vous voilà déjà fatigué et vous arrêtez.
Maroon 5 fait enfin son entrée après 20 bonnes minutes d'attente. Premier morceau et première constatation, le volume a fortement augmenté par rapport au premier show. En tout cas ça démarre très rock guitare et le chanteur n'a pas mué depuis leur tube « She will be loved ». Fin du morceau et voilà qu'il demande à changer de micro, ce qui est fait. Ce qui n'est pas fait pas contre, c'est de pousser le bouton correspondant au micro sur la platine ... Et voici donc le deuxième morceau qui s'apparente à un instrumental pêchu, avec sur scène un type mimant un chanteur criant dans son micro. Quelques sifflets n'y changent rien et on doit attendre une bonne grosse minute pour enfin l'entendre, 10 secondes avant qu'il soit muet à nouveau. L'ingénieur son finit enfin par trouver le bon bouton et l'on peut enfin profiter de sa voix. On pourra même faire un parallèle avec un article de la célèbre encyclopédie en ligne qu'est Wikipédia, qui, à propos du chanteur de Nightmare, dit qu'il sait aussi bien crier que chanter aigu ... Je pense qu'on peut utiliser le même qualificatif ici, tout en rajoutant que le chanteur de Maroon 5 sait aussi très bien crier aigu. Bref, vos tympans en prennent un coup à faire exploser n'importe quel cristal.
Troisième morceau, aucun changement de style, toujours ce rock très américain et quelques riffs somme toute pas désagréables mais qui ne révolutionneront pas la musique. Et toujours ce son à la limite du supportable. Je lui laisse encore deux morceaux afin de me convaincre de rester, mais malheureusement j'ai plus l'impression d'écouter encore et toujours la même chose. Je décide dans un premier temps de reculer afin de m'éloigner de ces décibels surpuissants, doublant la distance me séparant de la scène, à laquelle je n'étais pourtant pas collé. Je trouve là un espace plus clairsemé, où le public est donc un peu plus âgé, disons qu'on trouve là les étudiants venus pour la plupart en couple plutôt qu'en bande de djeunz. C'est là aussi qu'on trouve la fine équipe promotionnelle pour le nouvel album de Martin Solveig, proposant une écoute gratuite de celui-ci pour peu que vous possédiez une liaison Bluetooth sur votre mobile. Tant pis, ce sera pour une autre fois. On appréciera cependant les accessoires de l'équipe, constitués de ballons illuminés de l'intérieur, l'émetteur Bluetooth se cachant quant à lui dans un sac à dos. Mais pour en revenir au concert qui a lieu actuellement, malgré la distance le son reste trop fort et au final la prestation proposée ne me plait que moyennement. Un morceau plus tard je tourne donc définitivement les talons, et sur le chemin menant à la voiture, je m'aperçois qu'il m'aurait fallu aller loin pour avoir un son audible, mais à une distance telle qu'il était inutile d'espérer voir autre chose qu'un petit point blanc bougeant sur scène. Pour ce deuxième artiste c'est donc une déception, surtout après la forte impression laissée par Martin Solveig. Je pense que si Maroon 5 était allé piocher dans les morceaux de son premier album et avec un son raisonnable le concert eut été plus intéressant. Mais on ne refait pas le monde, et déjà remercions le ciel de nous avoir épargnés en soirée. On remarquera passé minuit que dans la nuit obscure, les nuages lointains étaient par instants éclairés d'un éclat blanchâtre, signe que l'orage n'était pas définitivement parti. On en aura la confirmation au matin en se réveillant au son du tonnerre et en allant travailler dans des conditions similaires à un remake de l'Apocalypse, la même pluie, les mêmes éclairs, mais, comme toute suite, en moins bien.
dingo
report écrit dans la foulée, qui ne vous parvient donc que maintenant ...
pour situer un peu, l'Apocalypse en filigrane c'est parce qu'on a eu un très violent orage à 18h30, deux heures avant le concert ...
je n'ai pas retouché le texte, donc il peut y avoir des private jokes qui traînent ou bien des passages qui vous interpellent ... à la base tout ça était destiné seulement aux autres stagiaires qui me sont chers, sous forme de Chroniques, dont je vous livre ici le chapitre XX
bref, installez-vous bien confortablement, c'est long ...
Tournée Ricard SA Live Music 2008
- Martin Solveig - Maroon 5
Dijon - Mail de Laborde - 10/06/2008
Reprenons le cours du temps qui semblait s'être arrêté lors de cette Apocalypse. Il est 19h30, la colère des Cieux s'est apaisée, et alors que l'on finalise l'écriture du chapitre de l'Apocalypse (c'est ça la classe, l'écriture en temps réel ! en même temps, je ne pensais qu'à ça sur la route, je faisais mes phrases et tout ... enfin bref), il est temps de se préparer à sortir. Sortir ? Par ce temps ? Boarf, ce ne sont juste que des gouttes d'eau, et ça a l'air de s'améliorer. Il est un peu plus de l'heure des Jeux quand je quitte le studio, il pleuviote toujours mais que faire Henrik ? Armé de mon parapluie je rejoins la voiture et me dirige ensuite au feeling vers le Palais des Sports, et plus précisément son parking.
Alors, qu'est-ce qui m'amène à risquer ma santé en ce mardi pluvieux ? Hé bien ce soir, à Dijon, fait étape la tournée du Ricard SA Live Music. Kézako que ça, en plus avec un tel sponsor alcoolisé ? Tout simplement une tournée de concerts gratuits à travers une douzaine de villes françaises, dont Dijon. Classe non ? Trois artistes sont à l'affiche, dont un (une en l'occurrence) est le vainqueur d'un tremplin Web, artiste choisi donc par les internautes. Les deux autres à l'affiche sont le DJ français Martin Solveig et le groupe pop-rock américain Maroon 5. Avouez que pour un concert gratuit on aurait pu trouver pire.
Il est un petit 20h20 quand j'arrive sur place, il tombe quelques gouttes encore, suffisantes pour justifier le parapluie pendant l'attente mais dont on pourra se passer pendant le concert. Et débute là un de mes sports favoris, l'observation des gens, de leurs manières et de leur comportement. Pour commencer, on peut dire que ça faisait longtemps que je n'avais pas été entouré par autant de collégiens et lycéens. Moyenne d'âge assez jeune donc pour ce live, je n'ai pas vu grand monde qui dépassait la vingtaine d'années, hormis quelques parents venus accompagner leur (très) petite progéniture. Cependant, sans doute aurais-je trouvé une moyenne d'âge plus élevée si je m'étais reculé, en tout cas c'est l'impression que ça m'a laissé en partant. Bref, j'avais l'impression de faire ma tour de contrôle au milieu de cette jeunesse qui ne m'arrivait que rarement au-dessus de l'épaule.
Qui dit jeunesse dit mode, et c'est vrai que j'ai aussi pu assister à un véritable défilé de mocheries en tout genre. Ma première remarque ira au maquillage, spécifiquement le contour des yeux. A ce que j'ai pu voir, deux solutions : ou bien les jeunes filles d'aujourd'hui se shootent de plus en plus tôt (ce qui est probable, vu la proportion d'entre elles qui fument ou descendent leur bière tranquillement ... par rapport à mes années collège ça a bien changé, et pourtant c'était dans un de ces quartiers que l'on dit « difficile » ...), ou bien ces mêmes jeunes filles ont pour objectif de ressembler à ce qu'il se fait de mieux au rayon zombie aujourd'hui. Enfin bref, croiser un regard en deviendrait presque une souffrance parfois. Mais la mode ne se restreint pas au maquillage, loin de là. Sur les coiffures je n'aurai rien à dire, même pas un petit punk pour égayer les têtes. Après, il y a le style vestimentaire. Et là, on a le choix. Forcément on tombe sur quelques djeunz tecktonik, mais moins que j'aurais pu l'imaginer avec la présence d'un DJ. Ou sinon ils étaient tout devant, mais je doute. On trouve aussi les inévitables filles venues pour se montrer et être regardées Tout est bon entre la mini-jupe, les bas-résilles ou le décolleté plongeant. On rappellera juste qu'il y a une heure de ça il pleuvait à torrents, et que l'accalmie est plus qu'incertaine. Mais c'est pas tout ça, le temps passe vite (ou pas), et la pluie a cessé quand, peu avant 21 heures, le super speaker nous annonce l'arrivée de Lizzie.
Lizzie donc, gagnante du tremplin Ricard (hé oui, il n'y a pas que le 100 mètres Ricard qui existe !), vient nous interpréter sa chanson dédiée au ... chocolat (Ricard chocolat je ne sais pas, ça peut être bon). Chanson en anglais (Olivia Ruiz est passée avant pour le titre en VF), musique pas mal mais malheureusement insuffisante pour chauffer efficacement la foule. Mais rares sont les premières parties dont on se souvient (en bien, entendons-nous). En deux ans de concerts en Rhône-Alpes, je crois bien que seul Pain a fait impression ... Mais en même temps, avec Nightwish derrière c'est déjà du concert de gros calibre.
Un petit tour et puis s'en va donc pour Lizzie, et voilà que l'on dévoile de sous leurs bâches les platines. Et quelques minutes plus tard voici Martin Solveig et son groupe qui montent sur scène. Oui, vous avez bien lu, « et son groupe ». A ceux qui attendaient un set dance-électro, c'est raté. Ca tombe bien, ce n'est pas mon cas. Martin Solveig s'est donc entouré de tout ce qui se fait de bien en musique, à savoir une batterie, une basse, une gratte et un chanteur, lui se gardant évidemment les claviers. Et en avant la musique ! Trois chanteurs se succèderont, dont Martin Solveig, ce qui n'est pas là son point fort disons-le, bien qu'il s'en sorte très honorablement. En tout cas, un set d'une petite heure ultra-efficace, assez tourné rock tout en conservant les bases de sa musique électronique. Je ne sais pas ce que donnent les titres en studio, mais à mon avis ils sont faits pour être joués en live. On notera au détour des arrangements l'utilisation du très bon riff de Lenny Kravitz dans « Are you gonna go my way » et une reprise du « Smell like teen spirit » de Nirvana, dont l'interprétation n'a rien à envier à ce que l'on a pu entendre cette année à la ME ... 22h donc et voici qu'en termine la très bonne surprise de la soirée, remerciant les bourguignons d'être venus malgré la tempête qu'il y a eu.
Alors que les techniciens s'affairent désormais sur scène pour installer le nécessaire pour Maroon 5, nous attendons patiemment la reprise des hostilités. C'est le moment que choisissent les photographes pour immortaliser la foule en délire. On lira plus tard dans la feuille de chou locale, Le Bien Public, que nous étions 10.000 à s'être déplacés ce soir-là. A mon humble avis c'est surestimé, un bon 5.000 me paraît plus probable, ce qui est quand même un exploit compte tenu des conditions météo. Bref, nous attendons, et voilà qu'un groupe de Bourguignons entame la tradition locale du bal bourguignon. J'en avais entendu parler chez Alcan sans comprendre la chorégraphie, donc en vrai c'est mieux. Ca n'a pas l'air si compliqué en tout cas, vous levez les bras en l'air, vous mettez vos mains un peu comme si vous dévissiez une ampoule ou teniez un oeuf, et vous donnez à vos bras un mouvement de rotation autour de l'axe z défini vertical. Puis, vous vous mettez à applaudir, selon un rythme très précis cependant. Et vous recommencez. Mais bon, après trois-quatre répétitions, vous voilà déjà fatigué et vous arrêtez.
Maroon 5 fait enfin son entrée après 20 bonnes minutes d'attente. Premier morceau et première constatation, le volume a fortement augmenté par rapport au premier show. En tout cas ça démarre très rock guitare et le chanteur n'a pas mué depuis leur tube « She will be loved ». Fin du morceau et voilà qu'il demande à changer de micro, ce qui est fait. Ce qui n'est pas fait pas contre, c'est de pousser le bouton correspondant au micro sur la platine ... Et voici donc le deuxième morceau qui s'apparente à un instrumental pêchu, avec sur scène un type mimant un chanteur criant dans son micro. Quelques sifflets n'y changent rien et on doit attendre une bonne grosse minute pour enfin l'entendre, 10 secondes avant qu'il soit muet à nouveau. L'ingénieur son finit enfin par trouver le bon bouton et l'on peut enfin profiter de sa voix. On pourra même faire un parallèle avec un article de la célèbre encyclopédie en ligne qu'est Wikipédia, qui, à propos du chanteur de Nightmare, dit qu'il sait aussi bien crier que chanter aigu ... Je pense qu'on peut utiliser le même qualificatif ici, tout en rajoutant que le chanteur de Maroon 5 sait aussi très bien crier aigu. Bref, vos tympans en prennent un coup à faire exploser n'importe quel cristal.
Troisième morceau, aucun changement de style, toujours ce rock très américain et quelques riffs somme toute pas désagréables mais qui ne révolutionneront pas la musique. Et toujours ce son à la limite du supportable. Je lui laisse encore deux morceaux afin de me convaincre de rester, mais malheureusement j'ai plus l'impression d'écouter encore et toujours la même chose. Je décide dans un premier temps de reculer afin de m'éloigner de ces décibels surpuissants, doublant la distance me séparant de la scène, à laquelle je n'étais pourtant pas collé. Je trouve là un espace plus clairsemé, où le public est donc un peu plus âgé, disons qu'on trouve là les étudiants venus pour la plupart en couple plutôt qu'en bande de djeunz. C'est là aussi qu'on trouve la fine équipe promotionnelle pour le nouvel album de Martin Solveig, proposant une écoute gratuite de celui-ci pour peu que vous possédiez une liaison Bluetooth sur votre mobile. Tant pis, ce sera pour une autre fois. On appréciera cependant les accessoires de l'équipe, constitués de ballons illuminés de l'intérieur, l'émetteur Bluetooth se cachant quant à lui dans un sac à dos. Mais pour en revenir au concert qui a lieu actuellement, malgré la distance le son reste trop fort et au final la prestation proposée ne me plait que moyennement. Un morceau plus tard je tourne donc définitivement les talons, et sur le chemin menant à la voiture, je m'aperçois qu'il m'aurait fallu aller loin pour avoir un son audible, mais à une distance telle qu'il était inutile d'espérer voir autre chose qu'un petit point blanc bougeant sur scène. Pour ce deuxième artiste c'est donc une déception, surtout après la forte impression laissée par Martin Solveig. Je pense que si Maroon 5 était allé piocher dans les morceaux de son premier album et avec un son raisonnable le concert eut été plus intéressant. Mais on ne refait pas le monde, et déjà remercions le ciel de nous avoir épargnés en soirée. On remarquera passé minuit que dans la nuit obscure, les nuages lointains étaient par instants éclairés d'un éclat blanchâtre, signe que l'orage n'était pas définitivement parti. On en aura la confirmation au matin en se réveillant au son du tonnerre et en allant travailler dans des conditions similaires à un remake de l'Apocalypse, la même pluie, les mêmes éclairs, mais, comme toute suite, en moins bien.
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tiens, Mud Flow vient de sortir un nouvel opus
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Furieuse envie de tout cramer, dans un esprit de stabilité institutionnelle.
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Tiens ça me fait penser, depuis le temps que je te l'ai prêté, faudrait me le rendre, j'y tiens quoishadow's lisa a écrit :fif', après de longues et difficiles recherches, j'ai enfin trouvé l'album de tes rêves ... ici …
« There is a crack in everything.
That's how the light gets in. »
Leonard Cohen
That's how the light gets in. »
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Arrivage d'automne à la CDthèque Plus de 20 albums à écouter 
, quelle sinécure
Ce soir c'est Katy Perry "One of the Boys"
Alors : pas mal, mais ça sent le produit prévu pour plaire au plus grand nombre .. Jusqu'à la jaquette look nymphette des années 50 ... Allez tout le monde connait "I kissed a girl" ?
Mais c'est pas Madonna, c'est pas Duffy, c'est pas Alice .... Bien que ça cherche à en faire une synthèse marketing tout au long de l'album ...
A écouter en pogotant dans la bagnole dans les bouchons
Plus de 20 albums à écouter , quelle sinécure Ce soir c'est Katy Perry "One of the Boys"
Alors : pas mal, mais ça sent le produit prévu pour plaire au plus grand nombre .. Jusqu'à la jaquette look nymphette des années 50 ... Allez tout le monde connait "I kissed a girl" ?
Mais c'est pas Madonna, c'est pas Duffy, c'est pas Alice .... Bien que ça cherche à en faire une synthèse marketing tout au long de l'album ...
A écouter en pogotant dans la bagnole dans les bouchons
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quelques adresses de blogs (un peu de pub pour les amiches, ça fait pas d'mal )
moilà
)- electro, techno, rock et plus si affinités.... le blog d'un super ami à môa que c'est le meilleur
et que même qu'il met en ligne des mix faits maison que c'est bon pour dans ton corps
Europe and Co : association visant à promouvoir de très bons artistes dans la région du cidre et des vaches .... et ils ont réussi à amener du beau monde
Kiss & Fly : parce que c'est bon, parce que c'est beau et parce que c'est Tristan
moilà
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Ah Leila fait partie des 20+ albums que j'ai à écoutershadow's lisa a écrit :
electro, techno, rock et plus si affinités.... le blog d'un super ami à môa que c'est le meilleur
Jusque là je procédais par ordre alphabétique et j'avais commencé par Alice Cooper. Donc là je vais sauter à la lettre L 
Je connaissais déjàshadow's lisa a écrit :Kiss & Fly : parce que c'est bon, parce que c'est beau et parce que c'est Tristan
Excellent album 4 titres #JeSuisFainéant
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